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CheckoutDisons que c’est comme de la caféine pour l’esprit.
C'est un paradis de souffrir et d'être avec Dieu. Il faut pour cela s'habituer dans les douleurs à un entretien familier avec Dieu, et empêcher notre esprit de s'éloigner de lui ; il faut veiller sans relâche sur nous, pour ne rien faire, dire ou penser dans la maladie qui puisse Lui déplaire, même sous prétexte d’obtenir un soulagement à ses peines. Lorsque nous serons ainsi occupés de Dieu, les souffrances ne seront plus que des douceurs, des onctions et des consolations.