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CheckoutDisons que c’est comme de la caféine pour l’esprit.
Peut-être as-tu perdu celui que tu aimais, ton cher compagnon de route, il t'a devancée dans la patrie céleste. Tes yeux sont voilés de larmes, tu n'y vois plus bien clair. Tu pourrais devenir la proie du géant Désespoir qui te guette de son oeil rouge, là, de l'autre côté du sentier. Il croit déjà te saisir. Oh ! quels dangers tu cours. Appelle, appelle Celui qui apaisera ta douleur. Le Consolateur arrive, Il a entendu tes gémissements, tes soupirs, tes sanglots, Il s'approche et, avec une tendresse inexprimable, Il te console, Il essuie tes larmes, Il te permet de continuer la route.
L'Incomparable ! : Méditations sur le Psaume 23 et le Cantique des cantiques