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CheckoutDisons que c’est comme de la caféine pour l’esprit.
Il n’existe pas de plus grand amour, que celui de donner sa vie pour ses frères (Jean 15.13).
On ne donne pas sa vie seulement en mourant d’une mort héroïque. Il faut trouver une vie, dans laquelle on vit chaque minute pour les frères ; dans laquelle on se consacre entièrement, avec toutes ses forces, toutes ses possessions, tous ses dons, et tout son cœur, pour les frères.
C’est la vie que Jésus a vécue. Il ne s’est pas posé la question si la Palestine était trop étroite. Jésus n’a pas aspiré à vivre de préférence à Rome dans un palais. Il n’a pas visé à acquérir quelque titre ou dignité ou à avoir une grande influence ; au contraire, Il a choisi de prendre le rang le plus bas, le plus simple. Dans la crèche des bestiaux, dans la mangeoire des bestiaux, a-t-Il été déposé à sa naissance. Et Il continua son chemin dans la pauvreté la plus extrême. Ce fut le chemin de la simplicité la plus extrême. Et ainsi, ce chemin prend fin comme il a commencé – dans la misère extrême, dans la misère de la Croix.