Subtotal: $
CheckoutDisons que c’est comme de la caféine pour l’esprit.
Il n'y a qu'une chose qui empêche le Seigneur Jésus de remplir notre coupe, tandis qu'il passe : c'est le péché sous une de ses multiples formes. Il ne saurait remplir des coupes impures. Tout ce qui procède du moi, si infime que cela soit, est péché. La pitié de soi-même dans les épreuves et les difficultés, la recherche de ses intérêts propres dans les affaires ou le service pour Dieu, le laisser-aller dans les loisirs, la sensibilité, la susceptibilité, le ressentiment, la défense de ses droits lorsqu'on est offensé ou accusé, l'égocentrisme, le repliement sur soi-même, les soucis, les craintes, tout cela provient du moi, tout cela est par conséquent péché et souille notre coupe. Cependant, tous ces péchés se trouvaient dans la coupe que le Seigneur, à Gethsémani, hésita un moment à vider, mais qu'il but jusqu'à la lie au Calvaire. Si nous lui permettons de nous révéler le contenu de notre coupe et que nous le lui abandonnions, il le purifiera dans son sang précieux, qui coule encore pour le péché. Il ne s'agit pas là simplement d'une purification du péché, mais encore de la souillure et de la culpabilité qu'il entraine, de sorte qu'il n'en reste plus trace en nous. Et, tandis qu'il purifie notre coupe, il la remplit du Saint-Esprit. Nous pouvons ainsi expérimenter chaque jour à nouveau l'efficacité de ce sang précieux.