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CheckoutDisons que c’est comme de la caféine pour l’esprit.
Nous voulons qu'on reprenne les autres sévèrement, et nous ne voulons pas être repris nous-mêmes. Nous sommes choqués qu'on leur laisse une trop grande liberté, et nous ne voulons pas qu'on nous refuse rien. Nous voulons qu'on les retienne par des règlements, et nous ne souffrons pas qu'on nous contraigne en la moindre chose. Par-là on voit clairement combien il est rare que nous usions de la même mesure pour nous et pour les autres. Si tous étaient parfaits, qu'aurions-nous de leur part à souffrir pour Dieu ?