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CheckoutDisons que c’est comme de la caféine pour l’esprit.
« Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même » (2 Cor. 5.19).
Le parfait serviteur, « qui apprend l’obéissance par les choses qu’il souffre » (Héb. 5.8), entre si pleinement dans le dessein de Dieu ; le Fils est si pleinement un avec le Père, et c’est si bien « le Père demeurant en lui qui fait les œuvres » du Christ (Jean 14.10) ; qu’en lui l’action c’est l’être même, mais qui s’exprime : la Parole qui était avec Dieu et qui est Dieu, mais incarnée. S’il ne cède rien de cette plénitude, même devant la mort, même dans la mort, il a vaincu le monde. Car le monde n’a rien eu en lui. Et, vainqueur, son être juge le monde, c’est-à-dire qu’il le sauve en le délivrant de ce qui fait sa mort. N’est-ce pas là la foi de l’Église ?